Bonjour ,
Je ne sais pas si un membre de la municipale l’a remarqué mais , à chaque pluie , une flaque de plusieurs mètres carrés se forme au croisement de l’avenue de Saint Guilhem et du chemin de bourguet naou . De ce fait , ces jours là , il faut traverser l’avenue hors du passage piétons .
Il me semble que le réseau pluvial est situé juste en dessous de cette flaque ; ne serait-il pas possible de positionner un avaloir à cet endroit là ?
Ce que vous signalez a été pris en compte par la municipalité et fera l’objet d’une opération programmée cette année dans le cadre de l’amélioration du rendement des réseaux d’eau : avenue de Gignac, route de Saint-Guilhem et boulevard Félix Giraud. Cette opération sera suivie conjointement avec l’agence de l’eau afin de résoudre le problème des réseaux fuyards.
Bien que l’année soit écoulée , il semblerait que ces travaux prévus aient été oubliés ; espérons que 2016 voit enfin leur réalisation .
Bonne année à tous les lecteurs de ce commentaire .
Dessin réalisé à l’occasion des grands rassemblements du 11 janvier 2015 par Kinya Maruyama, architecte-paysagiste japonais en charge du projet « Cabanes en cavale » concernant le jardin de l’abbaye.
Après le massacre de Charlie Hebdo – spontanément partout en France, mais aussi dans le monde – des personnes ont souhaité dire leur émotion, leur solidarité autour de ces trois mots.
Aniane, n’a pas fait exception. Une initiative citoyenne lancée en début d’après-midi et ce sont plus de 200 personnes qui se sont retrouvées Place de la Liberté jeudi 8 janvier à 18 h 30.
« Je suis Charlie ». Ces trois mots sonnent comme un besoin de dire « non à la haine, à la barbarie ». Alors, nous sommes debout. Unis, au-delà des clivages politiques habituels ou des convictions religieuses.
La mort de Cabu, Wolinski, Tignous, Charp, Honoré, Maris » et de six autres dont deux policiers nous bouleverse par sa brutalité, mais aussi parce qu’elle est la réplique tristement imbécile aux rires déclenchés au fil des ans par les coups de crayon d’hommes libres.
Charlie Hebdo, c’est l’esprit libertaire, l’esprit de résistance, allié à l’humour corrosif et souvent provocateur dont la vertu essentielle est de faire réagir. Tuer Charlie Hebdo, c’est tuer cet aiguillon.
Alors, au-delà de l’émotion, c’est d’abord le besoin de résister qui amène chacun de nous à se lever pour faire bloc.
Notre République – et le maire l’a rappelé lors du rassemblement spontané de ce 8 janvier– reposent sur un trépied : Liberté, Egalité, Fraternité. En attaquant Charlie Hebdo au nom du fondamentalisme religieux, les terroristes ont souhaité amputer la France de deux de ces valeurs socles.
C’est pourquoi se rassembler « Place de La liberté », c’est rappeler avec force notre attachement à la liberté d’expression. C’est aussi affirmer que l’«on peut rire de tout mais pas avec n’importe qui » comme disait Pierre Desproges En ajoutant à son réquisitoire du Tribunal des flagrants délires ces mots qui font un triste écho à la tuerie de Charlie Hebdo et ses suites politiques.
« Près d’un terroriste hystérique, je pouffe à peine et, la présence, à mes côtés, d’un militant d’extrême droite assombrit couramment la jovialité monacale de cette mine réjouie dont je déplore en passant, … de vous imposer quotidiennement la présence inopportune au-dessus de la robe austère de la justice… »
Face à l’intégrisme religieux, la réponse ne peut être le repli sur soi, le rejet de l’autre ou la peur qui conduit aux amalgames ou aux clivages auxquels invitent toutes formes d’extrémisme. La réponse se trouve dans l’apprentissage quotidien du savoir-vivre ensemble, dans le respect de chacun, dans la volonté de fraterniser. L’humour, la dérision et la caricature contribuent à faciliter l’acceptation de la différence, à faire tomber nos peurs. Ils exacerbent la fraternité avec l’autre et l’humanité.
Eugène IONESCO disait : » Où il n’y pas d’humour, il n’y a pas d’humanité. Où il n’y a pas d’humour, il y a le camp de concentration ! »
Alors, résistons ensemble et rions, pour que Charlie reste à jamais vivant.
ll faut faire peuple désormais
Charlie était aussi à Aniane en 1994… Je ne pensais pas devoir rediffuser ces dessins dans ces circonstances en hommage dérisoire http://www.ville-aniane.com/a-vous-la-parole-docs/
Avec émotion pour le papa du Grand Duduche et ses potes, martyrs de la liberté, héros de notre liberté.
Bonjour
Il est assez regrettable de constater que l’agenda des festivité n’est jamais à jour sur le site de la commune
C’est pourtant un excellent moyen de communication de nos jours
cordialement
Bonjour,
Pardonnez-moi pour cette réponse tardive (faut croire que je suis pas très à jour moi-même) mais je souhaite ne pas laisser votre message sans retour.
Le service Communication s’emploie très régulièrement, voire quotidiennement à mettre à jour les informations du site d’Aniane, notamment tout ce qui concerne les événements festifs ou culturels qui se déroulent dans notre commune.
Je suppose que vous faites allusion à notre agenda culturel (accessible sur la page d’accueil de notre site). Ce fascicule réalisé chaque année aux alentours du mois de mai, c’est-à-dire au démarrage de notre saison culturelle, recense tous les événements que la mairie organise ou soutient avec ses partenaires associatifs ou institutionnels.
Nous réalisons également un document spécifique au moment du festival de théâtre « Aniane en Scènes » fin août.
Pour le reste des événements initiés tantôt par une association, la bibliothèque, nos écoles ou encore un club sportif, nous dépendons des informations qui nous sont remontées par les organisateurs. Mais nous nous faisons un devoir de les diffuser soit par le biais de notre Newsletter mensuelle (plus de 600 abonnés), soit par messagerie aux personnes qui nous ont fourni leur adresse mail, soit via le haut-parleur de la mairie et affichage.
Voilà ce que je voulais vous dire. Je me tiens à votre disposition pour plus d’informations si vous le souhaitez.
Bien à vous,
Christine Tissot, adjointe à la Communication, Culture et Vie associative.
Bonjour ,
Je ne sais pas si un membre de la municipale l’a remarqué mais , à chaque pluie , une flaque de plusieurs mètres carrés se forme au croisement de l’avenue de Saint Guilhem et du chemin de bourguet naou . De ce fait , ces jours là , il faut traverser l’avenue hors du passage piétons .
Il me semble que le réseau pluvial est situé juste en dessous de cette flaque ; ne serait-il pas possible de positionner un avaloir à cet endroit là ?
Bonjour,
Ce que vous signalez a été pris en compte par la municipalité et fera l’objet d’une opération programmée cette année dans le cadre de l’amélioration du rendement des réseaux d’eau : avenue de Gignac, route de Saint-Guilhem et boulevard Félix Giraud. Cette opération sera suivie conjointement avec l’agence de l’eau afin de résoudre le problème des réseaux fuyards.
Bien que l’année soit écoulée , il semblerait que ces travaux prévus aient été oubliés ; espérons que 2016 voit enfin leur réalisation .
Bonne année à tous les lecteurs de ce commentaire .
Je suis Charlie
Dessin réalisé à l’occasion des grands rassemblements du 11 janvier 2015 par Kinya Maruyama, architecte-paysagiste japonais en charge du projet « Cabanes en cavale » concernant le jardin de l’abbaye.
http://www.ville-aniane.com/a-vous-la-parole-docs/#kinya
Je suis Charlie
Après le massacre de Charlie Hebdo – spontanément partout en France, mais aussi dans le monde – des personnes ont souhaité dire leur émotion, leur solidarité autour de ces trois mots.
Aniane, n’a pas fait exception. Une initiative citoyenne lancée en début d’après-midi et ce sont plus de 200 personnes qui se sont retrouvées Place de la Liberté jeudi 8 janvier à 18 h 30.
« Je suis Charlie ». Ces trois mots sonnent comme un besoin de dire « non à la haine, à la barbarie ». Alors, nous sommes debout. Unis, au-delà des clivages politiques habituels ou des convictions religieuses.
La mort de Cabu, Wolinski, Tignous, Charp, Honoré, Maris » et de six autres dont deux policiers nous bouleverse par sa brutalité, mais aussi parce qu’elle est la réplique tristement imbécile aux rires déclenchés au fil des ans par les coups de crayon d’hommes libres.
Charlie Hebdo, c’est l’esprit libertaire, l’esprit de résistance, allié à l’humour corrosif et souvent provocateur dont la vertu essentielle est de faire réagir. Tuer Charlie Hebdo, c’est tuer cet aiguillon.
Alors, au-delà de l’émotion, c’est d’abord le besoin de résister qui amène chacun de nous à se lever pour faire bloc.
Notre République – et le maire l’a rappelé lors du rassemblement spontané de ce 8 janvier– reposent sur un trépied : Liberté, Egalité, Fraternité. En attaquant Charlie Hebdo au nom du fondamentalisme religieux, les terroristes ont souhaité amputer la France de deux de ces valeurs socles.
C’est pourquoi se rassembler « Place de La liberté », c’est rappeler avec force notre attachement à la liberté d’expression. C’est aussi affirmer que l’«on peut rire de tout mais pas avec n’importe qui » comme disait Pierre Desproges En ajoutant à son réquisitoire du Tribunal des flagrants délires ces mots qui font un triste écho à la tuerie de Charlie Hebdo et ses suites politiques.
« Près d’un terroriste hystérique, je pouffe à peine et, la présence, à mes côtés, d’un militant d’extrême droite assombrit couramment la jovialité monacale de cette mine réjouie dont je déplore en passant, … de vous imposer quotidiennement la présence inopportune au-dessus de la robe austère de la justice… »
Face à l’intégrisme religieux, la réponse ne peut être le repli sur soi, le rejet de l’autre ou la peur qui conduit aux amalgames ou aux clivages auxquels invitent toutes formes d’extrémisme. La réponse se trouve dans l’apprentissage quotidien du savoir-vivre ensemble, dans le respect de chacun, dans la volonté de fraterniser. L’humour, la dérision et la caricature contribuent à faciliter l’acceptation de la différence, à faire tomber nos peurs. Ils exacerbent la fraternité avec l’autre et l’humanité.
Eugène IONESCO disait : » Où il n’y pas d’humour, il n’y a pas d’humanité. Où il n’y a pas d’humour, il y a le camp de concentration ! »
Alors, résistons ensemble et rions, pour que Charlie reste à jamais vivant.
Fabien Delmas
Je suis Charlie
ll faut faire peuple désormais
Charlie était aussi à Aniane en 1994… Je ne pensais pas devoir rediffuser ces dessins dans ces circonstances en hommage dérisoire
http://www.ville-aniane.com/a-vous-la-parole-docs/
Avec émotion pour le papa du Grand Duduche et ses potes, martyrs de la liberté, héros de notre liberté.
Laurent Schneider
Communication
Bonjour
Il est assez regrettable de constater que l’agenda des festivité n’est jamais à jour sur le site de la commune
C’est pourtant un excellent moyen de communication de nos jours
cordialement
Bonjour,
Pardonnez-moi pour cette réponse tardive (faut croire que je suis pas très à jour moi-même) mais je souhaite ne pas laisser votre message sans retour.
Le service Communication s’emploie très régulièrement, voire quotidiennement à mettre à jour les informations du site d’Aniane, notamment tout ce qui concerne les événements festifs ou culturels qui se déroulent dans notre commune.
Je suppose que vous faites allusion à notre agenda culturel (accessible sur la page d’accueil de notre site). Ce fascicule réalisé chaque année aux alentours du mois de mai, c’est-à-dire au démarrage de notre saison culturelle, recense tous les événements que la mairie organise ou soutient avec ses partenaires associatifs ou institutionnels.
Nous réalisons également un document spécifique au moment du festival de théâtre « Aniane en Scènes » fin août.
Pour le reste des événements initiés tantôt par une association, la bibliothèque, nos écoles ou encore un club sportif, nous dépendons des informations qui nous sont remontées par les organisateurs. Mais nous nous faisons un devoir de les diffuser soit par le biais de notre Newsletter mensuelle (plus de 600 abonnés), soit par messagerie aux personnes qui nous ont fourni leur adresse mail, soit via le haut-parleur de la mairie et affichage.
Voilà ce que je voulais vous dire. Je me tiens à votre disposition pour plus d’informations si vous le souhaitez.
Bien à vous,
Christine Tissot, adjointe à la Communication, Culture et Vie associative.